De nombreuses patientes atteintes de méningiome après la prise de ce traitement se sont manifestées ces derniers jours.
Deux requêtes ont été déposées devant le tribunal administratif de Montreuil. L’Agence du médicament est mise en cause pour avoir tardé à informer correctement les patientes du risque de tumeurs du cerveau malgré les alertes.
Pris par des milliers de femmes, ce traitement est dans le viseur des autorités, car il provoquerait des tumeurs au cerveau.
L'Agence du médicament demande à limiter les prescriptions et recommande une surveillance des patientes sous traitement.
La prescription de ce médicament, qui peut être à l’origine de tumeurs cérébrales bénignes, devra désormais être précédée d’une IRM du cerveau.